Inspiré par la tradition anatolienne (Altin Gün, Barış Manço, Islandman), mêlant le saz turc et les sonorités orientales à un beat techno massif, « Hyper Moknech » vous invite à une déambulation urbaine intense. Cet EP accueille également l’arrivée d’un Bouzouki, instrument Grec qui complète l’aspect envoûtant de leur musique.
L’électro psyché d’Islandman, la techno orientale d’Acid Arab et l’énergie de Johan Papaconstantino se combinent pour créer une atmosphère unique et captivante aux influences méditerranéennes. On retrouve donc des instruments comme le saz turc, des percussions et vents orientaux, guitare électrique, synthétiseurs… Le tout porté par des textes en français souvent oniriques mais parfois issus de rues où les gens ont le sang chaud.
Matild est autrice, compositrice, pianiste, et comédienne.
Elle se lance dans son projet musical après des études d’art dramatique et 17 ans de piano classique. Vous connaissez forcément son titre phare « Paradis bleu » qui compte aujourd’hui 18 millions de streams. Son nouvel EP « Ma solitude », sorti le 7 mars 2025, parle des étapes de reconstruction post rupture. Son style électro pop, fraîchement décalé et sa voix sensuelle et envoutante, vous feront danser tout l’été.
C’est en 2009, suite à une collaboration avec Umberto Echo de Oneness Records et le groupe de son frère, Jamaram, que la carrière de Sara Lugo décolle. Avec quatre albums au compteur ainsi que des collaborations avec des musiciens et producteurs reconnus, Sara a depuis fait ses armes. Son habileté à naviguer entre tous les mondes lui donne la liberté d’expérimenter plusieurs styles musicaux, notamment la pop, le swing, le R&B et bien sûr le reggae. La chanteuse combine sa voix soul aux accents folk, avec la sophistication du jazz et le côté frais et moderne du hip-hop et son style unique amène une saveur singulière au genre qu’elle chérit le plus; le reggae. Reconnue comme une figure incontournable du genre, son talent et sa détermination lui ont permis de gagner l’Award du British Reggae Industry en 2013, en tant que meilleure artiste femme internationale. Sara a croisé les chemins d’artistes reggae influents. Elle sort en 2012 «High & Windy» avec Kabaka Pyramid, un succès qui enregistre plus de 1 million de vues deux semaines après la sortie. En 2014, Sara Lugo s’offre un featuring avec l’un des artistes reggae les plus reconnu sur la scène contemporaine : Protoje. «Really like you» est un succès et a atteint 14 millions de vues sur Youtube depuis sa sortie. La même année, son deuxième album «Hit Me With Music» sort et rencontre un large succès. En 2020, elle explore de nouveaux horizons. Elle s’installe en France où elle rencontre Blanka de La Fine Equipe, un des DJS crew les plus renommé de France. Elle collabore avec lui sur son dernier EP Elevate, sorti en Octobre 2020 ainsi que sur son dernier album Flowaz, sorti en 2021. Cet album abouti et éclecitque démontre encore la capacité de Sara Lugo à surfer sur tous les styles, avec délicatesse. Cet engouement a largement contribué à étendre sa fan base aux quatre coins du monde, que Sara exploite lors de tournées à travers l’Europe, l’Amérique du Nord et Centrale. Elle se produit notamment au festival « Reggae Live Festival» au Mexique, ainsi qu’au Costa Rica. En Europe, Elle vogue entre l’Espagne (Rototom Sunsplash), la Slovaquie, l’Allemagne (Ruhr Reggae Summer) et la France où elle se produit dans de nombreuses régions ainsi qu’à Paris, au Trianon, à l’Olympia ou à La Gaîté Lyrique. 2025 est encore dotée d’une belle tournée !
Belleville Boogie est un collectif de DJs réunis autour d’une esthétique musicale groovy et festive, dont les racines se trouvent du côté de New York dans les années
Ils prennent leurs quartiers en 2016 dans le mythique club bellevillois La Java et s’exportent dans de nombreux autres lieux de la fête parisienne (La Rotonde, Wanderlust, La Bellevilloise), tout en gardant un pied à Belleville. Au fil des années, des invités de marque se succèdent (Funkineven, Daniel Wang, Daniele Baldelli, Volcov, Tornado Wallace, Margie…) à l’effigie de l’éclectisme musical prôné par le collectif.
En 2023, Belleville Boogie devient un label : Belleville Boogie Musiques. L’idée est de transmettre l’esprit de la soirée à travers une série d’EPs qui puisent leurs inspirations dans les moments vécus sur le dancefloor ces six dernières années. Le premier disque rassemble 4 morceaux concoctés par Lemon McWright et Jan Decent.
Né des profondeurs du confinement, « Le Pacifique » est un morceau baléarique nspiré par Larry Heard, tandis que « Grateful » nous entraîne dans un voyage infusé de jazz, avec les talents de Fred Melosax, Charif Megarbane et Rafael Powell. Pour ceux qui se souviennent des premiers jours de la scène French House, « J’aime Danser » est un clin d’œil ludique à cette scène qui nous a formés. Et pour finir, « Bella Belleville » vous attirera vers une transe hypnotique et downtempo, parfaite pour votre salon.
Synthétiseurs, guitare et batterie, voilà pour les ingrédients principaux. Difficile de savoir quelle autre épice magique les trois Lillois de Jungle Sauce ajoutent à leur potion, mais une chose est sûre : impossible de ne pas danser quand ce power trio part en transe, attaque le rock à l’acid et invente un psychédélisme techno. De la musique de club jouée en live, des grooves à revendre, une grande teuf instrumentale ? Laissez-vous saucer.
Quelque part dans la cale d’un vieux cargo au nom Arménien, des tonnes de crabes, d’opium et de mojo risin. Les larsens s’envolent en même temps que les mots sur des rythmes puissants. Les sonorités viennent d’orient et suivent les rails cabossés d’un rock’n roll venu tout droit du summer of love Californien, échappé des garages, dans les caves… Tout ça se rejoint sur la mer déchaînée. Karaboudjan largue les amarres dans le sud de l’Aisne en mai 2020, un duo de garage rock, Rafi traîne sa guitare électrique cabossée sur de vieux amplis à lampe, s’égarant également vers l’est au son des cordes de son saz (luth Turc). Les textes sont déclamés en français, la poésie se mêle aux harmonies 60’s et à la grosse reverb, ressort des protest-songs et des mots joueurs. Dans la cale, on entend la batterie / derbouka de Phil résonner, simple efficace, dans l’énergie et la puissance, mais en mêlant ceci à des séquences de basse analogique et de toute sortes de claviers, synthés vintage d’il y a déjà un demi siècle. Le groupe s’enrichit d’un bassiste mystique en 2024 (John Mclovepine présent à chaque fois) et également d’un second batteur pour les grandes occasions et les grandes fêtes psychédéliques.
Des Black Keys aux Doors, du rock le plus garage et psychédélique en passant par certains chanteurs français de Gainsbourg à Bashung, Phil, Rafi, John et Orso sont bien décidés à se faire entendre. La transe n’est jamais bien loin. Ca joue fort, quatre accords c’est déjà trop. Place à l’essentiel, rien de superflu. Retour à l’organique sans fioriture mais en utilisant la technologie que nous permet notre époque pour sortir le gros son dans toutes les situations. Leur premier EP la Lagune est sorti au début de l’été 2022 chez Blackfish Records, accompagné d’un premier clip Pour de vrai, puis d’un second Siempre la pena. De nouvelles choses arrivent très vite.
Forts de leurs expériences dans de nombreux groupes professionnels, depuis 25 ans pour Phil (Betrand &, Léonie Lob, Monsieur Poli, la Punkaravane…) et 15 ans pour les autres (la Punkaravane, les Fonds de Bouteilles, Ramon Tapul, Burnin Jacks…), l’envie de créer un projet le plus décomplexé et désinhibant possible dans une esthétique rock garage 60s, bien loin des autres projets plus chanson, a été plus forte que tout quand la crise du covid a cloué les artistes.
Ils sont prêts à jouer partout, dans les salles, dans la rue, sur un cargo, n’importe où, et à répondre au besoin vital de rock’n roll opiacé dont tout le monde a besoin.
Palnik & Lewa n’est ni tout à fait un trio classique, ni un simple groupe de rap. Portés par la complicité de Valentin, Clément et Philou, ils naviguent avec aisance entre instruments live et performances visuelles audacieuses. Leurs textes poétiques, mêlant mélancolie et espoir, tristesse et bonheur, tissent un univers d’ambivalence, riche. Inspirés de Fauve, d’Odezenne ou encore de Stupeflip, les trois compères nous proposent un nouveau genre musical: l’électro lyrique. Depuis leur premier concert dans leur ville d’origine: Pierrefonds, les camarades de fortune se sont constitué une solide expérience scénique et vont offrir au public de l’Enceinte une prestation taillée pour le live.
Découvrez leur dernier live session de « Fucked Up » :
Pour comprendre Tshegue, il suffit de les regarder sur scène. Observer comment le groupe charrie ce feu, ces vibrations et cette transe, s’abandonne à ce ballet de rythmes et propulse son public transcendé le plus loin qu’il peut, entre Kinshasa et Paris.
Rencontrés à Paris au milieu des années 2010, Faty Sy Savanet et Nicolas “Dakou” Dacunha dévoilent en 2017 un premier EP, mélange de rock, de blues, d’électro, de funk et de beats africains chanté en lingala, qui suscite l’intérêt d’un public aussi vaste que leur mélange des genres.
Après l’EP Telema, Tshegue ne finit pas de révéler son caractère hybride en revenant avec le projet Argent : descendante directe des sons ancestraux, brute, organique et charnelle, sa musique est néanmoins contemporaine et documentée, forte de questionnements politiques, artistiques et personnels. Elle ne révèle pas, d’emblée, tous ses secrets mais s’écoute comme on observe une foule danser : on s’y retrouve forcément.
Découvrez leur dernier clip : « Plus de place nulle part »
A mi-chemin entre le Nu-disco et l’électro, ce projet musical est porté par Arnaud Cabaret (DJ) et Bertrand Trebos avec un light show en direct pour sublimer la musique. Tout est joué live. La scénographie est soignée dans les moindres détails et adaptée à chaque prestation.
Leurs 10 ans d’expérience de la scène rendent le duo adaptable en toute circonstance. La musique est jouée sur vinyles et toutes les lumières sont pilotées par Bertrand depuis la scène. La sélection musicale est pointue et groovy.
Ses influences dj’s sont DJ Harvey, Dombrance, Yuksek ou Pedro Winter pour l’electro, mais aussi Kerry Chandler et Carl craig et moodyman pour la House 🕺🏽
Motolo, qui tire son nom de l’expression marquisienne signifiant « faire l’amour », est un groupe d’afro beat-funk né en Thiérache de l’amitié de quatre musiciens soudés sur les bancs de l’école de musique municipale. Depuis leurs premières répétitions au début des années 2000 au Beatnik Chic, la salle mythique d’Hirson, le groupe s’est fait connaître sur de nombreux festivals en région puis dans toute la France. Le répertoire, quasi uniquement instrumental au début, a aujourd’hui évolué vers un afro-beat chanté en créole, cerné d’influences parfois rock, dans une filiation parfaitement assumée avec les Red Hot Chili Peppers.